Que l’on ne s’y trompe pas, en science, il n’est pas question de consensus, et normalement pas question de croyances, notamment dogmatiques, qui ne peuvent être remises en cause…
Qu’en est-il, par exemple, des questions de “genre” et d'”orientation sexuelle” ?
Qu’en est-il depuis 3 ans des questions relatives au virus C-19, aux traitements préconisés ou non au nom de la science ?
Avons-nous le droit de remettre en cause le récit officiel, surtout lorsqu’il porte un label scientifique, un label de l’OMS ?
Quand on sait que l’épidémiologue Yoanidis et ses équipes peuvent affirmer que seukes 5% des procédures médicales couramment utilisées sont fondées sur le plan scientifique, quand on sait que seules 6 études sur 53 publiées dans de bonnes revues ont pu avoir leurs résultats reproduits à l’identique… est-on fondé à douter du fameux “consensus scientifique” ?…
Je crois, jusqu’à preuve du contraire, que la réponse à ces questions est “oui”. La médecine n’est pas une science, mais bien encore un art et le laboratoire, à ce que j’ai pu vivre en clinique, venant des science dures (diplômé en sciences supérieures physiques de l’Ecole Polytechnique Fédérale de Zurich en 1981, spécialité physique des hautes énergies et physique de l’atmosphère), l’humain ne peut se réduire au rat de laboratoire, à être considéré comme ensemble de processus biochimiques, ou de particules…
L’humain est un être extrêmement complexe, incarné dans cette réalité biologique qui nous sous-tend, être aux rapports complexes avec lui-même, capable de s’auto-observer sans vraiment souvent se comprendre, être de relations, privilégiées au sein d’un couple, d’une famille, d’une société de proximité (associations, clubs, communes, paroisses) et plus récemmment connecté au monde entier, submergé d’informations diverses et variées…
Ayant eu la chance d’avoir un poste universitaire à responsabilité clinique, d’enseignement et de recherche, en tant que 1er chef de clinique de la Consultation de gynécologie psychosomatique et de sexologie de Hôpitaux Universitaires de Genève durant 7 ans, je ne peux que constater que l’organisation de la chose institutionnelle telle que je l’ai vécue et qui n’a pas dû beaucoup évoluer depuis, est que ceux qui sont sensé incarner la science, et j’en faisais justement partie, ont certes des avantages d’avoir du temps pour lire les travaux des autres, y réfléchir, l’enseigner… Mais concernant le développement de la compréhension du fonctionnement humain, ils sont minoritairement confronté à la pâte humaine dès lors qu’ils omt pris du galon, ils voient sommes toutes peu de patients faute de temps, Ils sont donc peu confrontés à la réalité du vécu humain dans son ensemble.
Le praticien que je suis depuis bientôt 20 ans cette année, est beaucoup plus au contact avec cette pâte humaine, cette réalité du terrain. Les champs pertinent à investiguer ne lui manquent pas, les savoirs à transmettre sur son art non plus… Malheureusement, la connexion avec l’institution universitaire n’existe que marginalement, le temps fait défaut pour pouvoir enseigner et/ou proposer des recherches qui pourraient faire sens et faire réellement avancer les connaissances…
C’est pourquoi je vous présente les informations que vous trouverez ci-dessous, car je crois vraiment à la position scientifique, qui consiste à remettre en cause la représentation que l’on se fait de la réalité, quelle qu’elle soit, certes sur la base d’arguments suffisamment bons, et à rechercher des éléments même dérangeants pour chercher à mieux la comprendre…
Je pense aussi que notre fonctionnement sociétal actuel est à bout de souffle à force de compromissions diverses et d’arrangement tordus avec la réalité “scientifique” et que nous devrons en changer tôt ou tard…
N’oubliez pas que vous n’êtes pas obligé de regarder, vous le faites à votre propre responsabilité et jugement !
A propos de la période C-19, pour obtenir des informations générales, très fouillées, malheureusement absentes dans nos médias habituels, voir le site développé par l’équipe du Dr Pierre-Hervé Tavelli, médecin psychiatre et psychothérapeute, en exercice à Sion : www.selonhippocrate.com
Sinon la Déclaration de Great Barrington rédigée et signée par le Dr Martin Kulldorff (professeur de médecine à l’université Harvard, biostatisticien et épidémiologiste spécialisé dans la détection et la surveillance du déclenchement des maladies infectieuses et l’évaluation de la sécurité des vaccins), la Dre Sunetra Gupta (professeure à l’université d’Oxford, épidémiologiste spécialisée en immunologie, dans le développement de vaccins et la modélisation mathématique des maladies infectieuses) et le Dr. Jay Bhattacharya (professeur à l’Ecole Médicale de l’université de Stanford, médecin, épidémiologiste, économiste de la santé et expert en santé publique spécialiste des maladies infectieuses et de leurs effets sur les populations vulnérables) le 4 octobre 2020 est à connaître…
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Communication du 10 décembre 2024
RAPPORT DU CONGRÈS AMÉRICAIN SUR LA PANDÉMIE
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Communication du 22 septembre 2024
Gestion COVID en Suisse 💥IMPORTANT !
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Communication du 8 août 2024
Le Dr David Martin, spécialiste mondial des brevets expose le génocide mondial organisé.
“Le problème central est un ensemble de conspirateurs de connivence dans le secteur public et l’industrie”.
Le Dr David Martin remonte l’histoire et raconte la naissance de l’OMS en tant qu’organisation criminelle et explique comment lors de la conférence de Bretton Woods aux États-Unis en 1944, une poignée d’hommes a décidé de créer des agences multilatérales à l’origine du FMI, de la Banque mondiale, de la Société des Nations qui deviendra les Nations Unies et ce, sans aucun contrôle public, tout en rédigeant des lois leur donnant l’immunité totale pour tous les crimes qu’ils pourraient commettre.
“Il n’y a jamais eu d’autorisation pour s’exonérer de toute responsabilité pénale. Ils se sont tout simplement donné cette autorisation”.
La crise Covid ne sera pas terminé tant que les responsables ne seront pas jugés!